Soumis à la crise alimentaire, le consommateur ne sait plus quoi manger. Cela amène les génies génétiques à analyser les perspectives du développement de deux méthodes de biotechnologies végétales. Peut-on s’appuyer uniquement sur la voie génétique pour répondre aux besoins de l’agriculture vivrière ?
D’abord, le séquençage des génomes est une technique pour accélérer la transmission d’une qualité propre dans la même variété. Elle vise à perfectionner la sélection et augmenter la production des variétés viables exemptes de maladies et plus résistantes à divers types de contraintes environnementales. Au contraire, l’OGM insère des gènes étrangers au patrimoine des espèces végétales pour développer des plantes résistantes aux conditions climatiques difficiles.
Tandis que dans la génomique, la grande dimension des génomes des céréales exige des recherches précises et chères, elle manque de fonds nécessaires. De plus, ces études sont très étendues et fatigantes. De même, les agriculteurs utilisent très peu d’OGM en raison d’un accès difficile aux banques de semences et un coût très élevé. D’ailleurs, il reste une technique expérimentale prétendant un succès plutôt sceptique.
Selon moi, les essais en laboratoire sont adaptés à l'étude des gènes aux complications générales. Mais ces conditions de culture sont stéréotypées et ne reflètent pas la complexité spécifique de l'agriculture.
En Inde, la culture d’un coton transgénique, mis au point par Monsanto, une société américaine, doit résister aux attaques des insectes, en réalité reste infestée. Les petits paysans qui ont compté sur l'OGM plus cher, restent désorientés au tel point qu’il leur conduit au suicide. La biotechnologie pourrait-elle nourrir le monde sans qu’elle soit nuisible ?
(262 mots)
D’abord, le séquençage des génomes est une technique pour accélérer la transmission d’une qualité propre dans la même variété. Elle vise à perfectionner la sélection et augmenter la production des variétés viables exemptes de maladies et plus résistantes à divers types de contraintes environnementales. Au contraire, l’OGM insère des gènes étrangers au patrimoine des espèces végétales pour développer des plantes résistantes aux conditions climatiques difficiles.
Tandis que dans la génomique, la grande dimension des génomes des céréales exige des recherches précises et chères, elle manque de fonds nécessaires. De plus, ces études sont très étendues et fatigantes. De même, les agriculteurs utilisent très peu d’OGM en raison d’un accès difficile aux banques de semences et un coût très élevé. D’ailleurs, il reste une technique expérimentale prétendant un succès plutôt sceptique.
Selon moi, les essais en laboratoire sont adaptés à l'étude des gènes aux complications générales. Mais ces conditions de culture sont stéréotypées et ne reflètent pas la complexité spécifique de l'agriculture.
En Inde, la culture d’un coton transgénique, mis au point par Monsanto, une société américaine, doit résister aux attaques des insectes, en réalité reste infestée. Les petits paysans qui ont compté sur l'OGM plus cher, restent désorientés au tel point qu’il leur conduit au suicide. La biotechnologie pourrait-elle nourrir le monde sans qu’elle soit nuisible ?
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