Bêtises, désobéissance, mensonges, ce sont de mauvais comportements quotidiens de certains élèves. Sauf quelques-uns, les enseignants confrontés à de tels actes de la part de leurs élèves n'hésitent pas à les châtier. Les sévices corporels doivent-ils intégrer dans le système éducatif ? N’ont-ils pas un impact néfaste sur l'enfant ?
Au fil des siècles, même si les préceptes du pédagogue ont conseillé des proportions applicables pour les corrections à l’école, interdisant l’usage de la main ou les coups de pied, les instituteurs ont soutenu que les châtiments corporels sont efficaces pour faire obéir un enfant immédiatement. Ainsi, les écoles sont devenues l’arsenal punitif.
Toutefois, les spécialistes de la pédopsychiatrie décrient la punition physique et les traditions éducatives du caractère «préjudiciable». Les psychanalystes soulignent les conséquences graves sur la psychologie de l'enfant, nuisible pour l'épanouissement des enfants.
Or, compte tenu la qualité de la relation enseignants enfants, le type, la fréquence et l'émotion associée aux châtiments corporels, on ne peut pas supposer que tous les enfants qui ont connu ces punitions deviendront agressifs ou délinquants.
Par ailleurs, les instituteurs énervés, donnent des fessées pour décharger leurs frustrations. Cela remet en cause la mission des enseignants.
Évidemment, les punitions ne sont pas les seuls moyens de s’apprêter l’élève pour l’avenir. En somme, il vaut mieux lui donner des encouragements lorsqu'il fait bien, que de le réprimander ou de le cogner lorsqu'il fait mal. L'éducation doit privilégier l'apprentissage. Ne faut-il pas donner aux élèves un apprentissage productif qui est axé sur leur développement exhaustif ?
(252 mots)
Au fil des siècles, même si les préceptes du pédagogue ont conseillé des proportions applicables pour les corrections à l’école, interdisant l’usage de la main ou les coups de pied, les instituteurs ont soutenu que les châtiments corporels sont efficaces pour faire obéir un enfant immédiatement. Ainsi, les écoles sont devenues l’arsenal punitif.
Toutefois, les spécialistes de la pédopsychiatrie décrient la punition physique et les traditions éducatives du caractère «préjudiciable». Les psychanalystes soulignent les conséquences graves sur la psychologie de l'enfant, nuisible pour l'épanouissement des enfants.
Or, compte tenu la qualité de la relation enseignants enfants, le type, la fréquence et l'émotion associée aux châtiments corporels, on ne peut pas supposer que tous les enfants qui ont connu ces punitions deviendront agressifs ou délinquants.
Par ailleurs, les instituteurs énervés, donnent des fessées pour décharger leurs frustrations. Cela remet en cause la mission des enseignants.
Évidemment, les punitions ne sont pas les seuls moyens de s’apprêter l’élève pour l’avenir. En somme, il vaut mieux lui donner des encouragements lorsqu'il fait bien, que de le réprimander ou de le cogner lorsqu'il fait mal. L'éducation doit privilégier l'apprentissage. Ne faut-il pas donner aux élèves un apprentissage productif qui est axé sur leur développement exhaustif ?
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Salut Minakshi, les spécialistes de la pédopsychiatrie ont raison. Oeil pour oeil et le monde deviendra aveugle.
ReplyDeleteA mon avis tu pourrais reformuler/proposer autre question pour élargir le débat parce qu'à mon avis, c'est déjà discuté dans le cadre thématique de ton article.
ReplyDeleteSinon, j'admire vraiment ton aisance d'adhérer au plan et au limite des mots sans compromettre sur ton style ni tes idées.
Satyajit
Salut Sachin,
ReplyDeleteBien remarqué. La force ne peut résoudre aucun problème.
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ReplyDeleteSalut Satyajit,
ReplyDeleteMerci de me donner un éclaircissement précis sur ce point.
J'en réfléchirai.